amusement interompu

Faellia, énergisé comme tous les matins, n’avait pas été, comme convenu, voir son sensei Gaara. De toute façon, pour Faellia, se n’était qu’un sensei temporaire. Il allait bientôt craquer, elle le sentait. Tant qu’elle ne faisait que l’énerver sans que le démon sorte, elle était satisfaite. Elle ne connaissait rien d’autre de toute façon, pourquoi faire autrement. C’est pourquoi aujourd’hui, Faellia était, au lieu de faire son entraînement, au marcher commercial en train d’effrayer les passants et renverser tout dans les magasins. Des marchants criait a tu-tete :

- Les récoltes d’une semaine, sale gamine! Tu te rend compte! Nous allons devoir avertir le maître Kazekage de ton comportement!

Et d’autre plus courageux s’avançaient avec des bâtons, pelles et autre pour la corriger mais agile comme tout, Faellia évitait les coups en riant aux éclats. Elle repliquait aux paysans :

- Je m'en fiche, du maître Kazekage! Vous saurez que c’est lui qui fait mon entraînement et si il serait si bon que sa, il serait déjà la, non?

Personne ne sut quoi repondre car ils ignoraient que Gaara s'occupait de cette petite hypocrite.Faellia partit a courir en direction de sa petite maison que l’ancien maître Kazekage lui avait donner quand elle fonça dans quelqu’un qui ne bougea même pas d’un pouce.

* Oups… sa va mal! C’est pas n’importe qui qui aurait anticiper le choc si facilement… espérons que se n’est pas… *

C'était Gaara et il avait l'air furax. Le Kazekage la regarde de son regard noir et l'attrapa part le col de son habie. Il la fit entrer dans sa maison en la fesant glisser sur le sol. Tous savait se que Gaara pouvait faire et ils avaient confience en lui.

- Tu a manquer ton entrainement se matin... En plus tu a detruis des magasin entier... Tu vas allez les reparer sur le champ et je serais la pour superviser....

Faellia laissa passer un petit gemisement. Ramasser les magasins??? Il n’y pensait pas… Pourtant il avait l’air sérieux. Et pas question de le supplier. Mais peut-être qu’il devrait, par chance, aller régler quelque problème que se soit et elle aurais la voix libre pour partir. Pour le faire fâcher un peu, elle lui montra un ruban noir et lui dit en souriant :

- Il est beau, non, le caleçon du marchand de glace transformer en ruban?

En fait, ce n’était pas du tout un caleçon mais bien une ruban banal. Elle avait dit sa pour le faire encore plus fâcher. Cependant, elle dit :

- Mais vous avez sans doute autre chose a faire que je superviser, je suppose?

Gaara resta serieux tout le long et dit

- Je n'ai rien a faire et toi tu va tout ramaser !

Le ton qu'il avait pris avait fait fuire tout le monde sur la place publique. Il utilisa une des c'est technique sur le sable pour attraper Faellia part la gorge.

- Je n'ai pas le gout de plaisenter Faellia !

Faellia cacha du mieux qu’elle put la douleur que lui cossait cet étouffement mais les larmes coulèrent sans qu’elle ne puisse les retenir. Elle ne voulait pas ramasser mais elle n’avait pas le choix. Elle dit, en dernier recourt, sa voix a demi étouffer :

- Apres le déjeuner?

Elle savais bien que la réponse serais non mais elle détestait nettoyer se qu’elle jetait a terre.

- Je peut pas ranger le ventre vide, moi…

Le kazekage la regarda et la lacha. Il continua de lui lancer son regard noir et lui dit

- Tu mangeras quand tu auras ramasser...

Il sentait le démon en lui qui voulait tuer cette petite chippi. Mais Gaara tenta de la calmer en respirant part le nez.

- Ok, ok…

Se résigna t-elle a dire. Elle commença par les pommes mais lui lança :

- Je suis sur que tu meurs d’envie de laisser quelqu’un d’autre m’entraîner, pas vrai?

Elle sourit, sachant bien qu’on ne pouvait pas l’aprecier. C’était impossible! Tout le monde lui rappelait constement. Comment pouvait-il être différent? Non, gaara ne pourrait jamais apprécier personne, elle en était sure. Cette question devenait en fait une question piège.

Gaara regarda la jeune fille faire sa sale besogne et dit d'une voix forte

- Je vais te garder près de moi même si je ne t'aime pas..

Il baissa la tête et ferma les yeux mais il était tout ouie a se que la petite fesais.

- Mouais… Merci quand même…

Dit-elle sarcastiquement. Elle ramassa le reste des fruits qui traîner mais vit qu’il y avait une ananas prêt d’elle.

*Miam! C’est pas juste, c’est mon fruit préférer… Ho et puis, il a les yeux fermer… *

Cependant, elle hésitait avec Gaara dans les parages. Elle ramassa tous sauf l’ananas et, après une heure de besogne, la cacha en vitesse dans sa tunique en espérant qu’il ne l’avait pas vue.

- On va déjeuner, maintenant?

Dit-elle avec une mou résigner en pensant qu’il la laisserait déjeuner seule et qu’elle pourrait faire se qu’elle veut chez elle.

Se que Faellia ne s'avait pas c'est qu'il avait fait appeller a son troisième oeil donc il dit

- Oui mais va porter le fruit que tu a sous ta tunique...

Il avait toujours les yeux fermer et personne ne pouvait s'avoir si il avait utiliser se jutsu

Faellia hocha la tête avec négation. Comment avait-il fait? Mystère… elle alla plutôt voir le marchand effrayer et sortit son argent. Le marchand la frappa violement au visage, refusant de lui offrir le fruit.

*Ha, si ce gaara ne serait pas la, il l’aurait regretter ce marchand! Il mérite bien que je ne lui paie pas et que je m’en aille mais bon… Monsieur le gardien est la… grrrr… *

Elle alla déposer le fruit avec résignation en souriant comme toujours, comme pour dire au marchand en colère qu’il ne lui avait rien fait mais en fait, elle lui en voulait atrocement. Elle alla voir ensuite Gaara et lui dit méchamment :

- Content?

Puis elle reprit son habituel sourire pour dire :

- Je peux aller manger?

* Aller, laisse-moi partir que je revienne voler ce fioutu fruit. Je vais tellement menace ce marchand que personne n’en seras jamais rien! *

gaara le regarda et dit

- Vasi mais oublie pas que j'ai toujours un oeil sur toi...

Il partie vers les marchant pour leur dire qu'il s'excusais. Il alla ensuite voir son frère et sa soeur.

Faellia ne partit cependant pas. Elle se tourna vers le marchand avec un regard noir, presque démoniaque. Elle attendit que Gaara soit loin, très loin, pour exploser.

- Toi, Espèce de… de… On ne me frappe pas, tu sauras!

Elle prit l’ananas devant la tête éberluer du marchand. Il pensa que, finalement, elle craignait bel et bien Gaara, se qui était un plus pour eux. Cependant, il n’était plus la.

* Un bon déjeuner à l’ananas pour moi! *

- Au fait… Si tu dit quoi que se soit, je te trouverais et te tuerais, quitte a devoir quitter Suna, se que je prévois de toute façon!

- Le maître Kazekage te tueras si tu fait sa!

- Je crois pas, moi, puisque je serais déjà très loin!

Fière d’elle-même, elle partit en direction de chez elle.

Gaara fit alors apparaitre un mur de sable devant elle et arrive devant Faellia

- Tu croyait que j'allait te laisser sans surveilliance... J'ai toujours un oeil sur tout jeune fille...

Il lui montra son troisième oeils et lui arracha l'ananas. Il l'attrapa part lui même part la gorge et l'amena le visage vers le cien.

- Tu veux que j'utilise un jutsu qui va t'empecher de bouger durant plusieur semaine... peux etre même des mois...

Faellia ne souriait plus… Immobiliser? Jamais! Elle se débattit du mieux qu’elle pouvait sans arriver à bouger d’un seul cheveu.

- Toute façon, personne ici ne se soucis de moi, alors vas-y, te gène surtout pas… J’suis sure que sa va vous faire des vacances.

Cependant, pour une fois, Faellia était réellement paniquer a l’idée qu’il le fasse vraiment et sa se lisait facilement dans ses yeux.

Gaara la regarda et créa une main de sable. Il se concentra et avec un sourire sadique il seras la gorge de la jeune fille.

- C'est vraiment se que tu veux ?

Il la regarda le tête un peux pencher sur le coter mais plus en arrière.

Faellia paniqua et ne pus s’empêcher de crier :

- NON!

Elle le regarda, un peu fâcher.

- Non, non et non! Toi, tu as tué des tas de personne dans ta vie, pas vrai! Et on ne ta jamais corriger! C’est INJUSTE! Laisse-moi, je te dis!

Elle était paniquer et ne voulait pas être immobiliser a tout jamais. Se serais la pire des tortures qu’on ne pourrait lui faire.

- Aller… sa te donnerais rien de m’immobiliser… Je… Je… Je pourrais être sage…

Ces mots sortirent difficilement de la gorge de la petite qui cherchait frénétiquement son air. A cour d’air, elle avait maintenant l’impression que ses poumons allaient exploser.

Gaara l'attrapa sous son bras mais avant il lui dit

- Je suis le plus puissant de Suna seul Naruto Uzumaki ou Sasuke Uchiwa peux me battre jeune fille....

Il l'emena vers sa maison et lui dit en se mettant a sa hauteur

- Tu as la chance que quelqu'un tienne a toi et te montre se qu'il sais...Moi j'ai dut tout apprendre seul !

Il se releva et le regarda.

Faellia ne dit rien du tout de tout le trajet. Elle ne souriait pas non plus.

*Bof, je les connais même pas, ce Sasuke et ce Naruto… S’est même pas des Kages… Ils sont si fort que sa? *

Puis, lorsqu’il dit la dernière phrase, elle sursauta.

- Qui tien a moi? Qui sa? Toi? Tu veux rire? Si s’est sa, de l’amour, j’aime mieux pas la connaître… Menacer de t’immobiliser, ne faire que te gronder… Si je suis la, c’est a cause de l’autre Kazekage, et d’ailleurs, il est mort! Je ne voit pas pourquoi tu persiste a me garder… Je suis très bien seule!

Le Kazekage le regarda et dit

- J'avoue que je ne controle pas très bien mes emotions...Mais tu conte plus que tu croi a mes yeux.

Il lui donna un calin comme pour la rasurer. Gaara nagisais pas comme d'habitude il était lui même.

Faellia fut consterné de son attitude. Elle ne savait plus ou se mettre. Tout d’abord, les seule fois qu’on lui avait touché était toujours pour lui faire du mal, jamais autrement. Le câlin lui fit le même effet que si l’on avait frapper un jeune enfant qu’on avait toujours câliner, sans pour autant que cela lui fasse du mal. Elle tremblait un peu, sans comprendre pourquoi. Elle, compter pour quelqu’un? Il rigolait ou quoi? La petite fille se remémora toute les fois ou on l’avait frappé… Un nombre incalculable de fois! Elle se dégagea en douceur de son sensei et dit :

- Ha… Et comment puis-je compter a tes yeux quand tous se que je fait s’est faire des bêtises?

Pire : Plus elle y pensait, plus elle se sentait nulle. Elle était faible, même si elle s’entraînait jours et nuit à en tomber malade. Tous ceux qui étaient fort se fessaient respecter… Pourquoi pas elle?

Gaara regarda Faellia elle était sa proteger voila pourquoi elle contait pour lui. Quand l'ancien Kazekage lui avait presenter se defi de taille Gaara l'avait detester. Le jeune Kazekage possa c'est main sur les épaule de la jeune fille et dit

- Parce que j'ai apprie a aimer depuis mon combat avec Naruto... Il ma beaucoup aider...

Gaara se repassa la faim du combat Naruto lui avait dit pourquoi il se battait pour les autres. Le jeune homme avait tuer sa tante il l'aimait mais elle elle le detestait depuis sa naissence. Elle lui avait même dit que sa mère ne l'aimait pas.

- Je te propose un plat de nouille et après un bonne entrainement. Sa te dit Faellia ?

Gaara esquissa un beau sourire devant sa proteger. Les villageois le regardairent sidairer. Jamais Gaara ne fesait de sourire sauf quand il se battait contre un ennemie de taille.

Saphira arriva pour la première fois à Suna depuis son départ d’Oto. Elle vit tout de suite qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas à Suna, puisque les marchands parlaient frénétiquement de récolte bousillier par une morveuse. Elle sourit. Intéressant… Elle s’approcha d’un marchand et lui dit d’un regard tueur qui l’effraya :

- Hep, toi! Qui donc vous a fait sa? Répond!

Le marchand la regarda… Elle ne semblait pas venir de Suna…

- Heum… La… La gamine… Heum… Enfin, tout le monde dans Suna la connaît… Mais n’ayez crainte, le Kazekage s’en occupe!

Saphira fronça les yeux… Un Kage? Grrrrr… Et il s’occupe d’une chippie… Parfais! Elle souris diaboliquement et lui dit :

- D’accord… Laisse-moi seule, maintenant, sale petit marchand encombrant!
- Mais… c’est mon marcher, ici!
- Peu importe… Plus maintenant! Sort ou tu mourras!

Lorsqu’il fut partit, elle lui cria :

- Au fait… Avertit donc le village que la ‘grande S’ est en ville!

Le marchand ne dit rien, ne connaissant pas ce nom. Elle dit, comme s’il lui avait poser une question :

- Je suis un déserteur, pauvre inculte!

Il couru avertir tout le monde tandis que Saphira posait en vitesse des pièges mortel dans le magasin…

** Qu’il vienne, ce Kage… Je l’attendrais! Et avec un peu de chance, il amèneras cette petite fille qui le gêneras et il mouras et j’aurais enfin une disciple! **

Faellia souris devant cette invitation… Elle avait trop faim! Elle lui rendit son sourire et s’écria :

- Ho, oui! Merci, merci, merci!

Elle se leva en direction du magasin de nouille quand elle entendit un attroupement se former et un marchant qui criait a tu tête :

- Une folle, une folle, je vous dis! Elle va tuer tout le monde! Et ces vêtements! De la pure indescance! Elle a un regard fous et pire : Elle a voler mon magasin!

Faellia souris… Elle avait enfin la chance de faire ses preuves. A ce qu’ils disaient, elle était dans le magasin… Elle n’était pas bien futée… Ou bien c’était un piège! Sans attendre son maître, elle se dirigea a toute vitesse dans la masse compacte de marchand attrouper et avec agilité, leur sauta par-dessus. Elle arriva par la fenêtre du magasin et observa la femme tout habiller en noir. Elle vit bien qu’elle prépara quelque chose… En chantant comme une dingue! Elle cogna à la fenêtre en se bouchant les oreilles et cria :

- Tu chantes faux, méchante desertrice! Allez, sort de la!

Saphira se retourna vers la gamine aux longs cheveux blonds et arrêta de chanter sa chanson préférer… Elle, chanter faux? Pour qui se prenait-elle? Elle chantait même très bien. Elle sourit en pensant que se devait être la gamine dont tout le monde parlait. Elle s’approcha de la fenêtre et l’ouvrit à voler. Puis elle la gifla juste assez fort pour la faire tomber.

- Bien que je déteste frapper les jeunes demoiselles, celle-la, tu la méritais! Que tu as mal été éduqué! On n’interrompt pas les ladys en plein chant! Qui est ton tuteur? Ton éducation est à revoir, jeune demoiselle! Ho, oui… Sans doute cette brute de… hum… Quel est son nom, déjà? Ho, oui… G-A-A-R-A

Elle prononça son nom comme une espèce de posséder qui était en rage de tuer… Puis, elle reprit :

- Ho, mais ne me regarde pas comme sa… Et puis, qu’est-ce qui vous dit que je suis méchante? Parce que tuer des gens pour moi est gentil, mais ce que vous faites, pour vous, qui est gentil, pour moi parais méchant. Ce que je fais de gentil pour vous, est méchant. Alors il n’y a aucun juste milieu entre la gentillesse et la méchanceté. Conclusion : Je ne suis pas méchante, pas plus que vous!

Elle eut un rire sadique et dit à la gamine :

- Maintenant, entre… J’ai des bonbons pour toi!

Elle rie comme une dingue en pensant à cette blague vraiment pas drôle et stupide. Elle sortit cependant vraiment des bonbons de sa poche.